Où la fée perd ses ailes,
Et laisse derrière elle
Ces errances virtuelles
Elle repasse par des voies
Empruntées mille fois,
Et se lasse des émois
De ce triste écran froid
Attendu le réel
De cet intemporel,
Elle se croit immortelle
Quand les mots ensorcellent
Elle pense à admettre
Que pour mieux renaître,
Il vaut mieux disparaitre
De ces sites sans maître
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