11 janvier 2008

Au bout du monde

Devant moi s’étend le néant
Des mirages aux teintes ambrées
Des corps célestes luminescents
Le bout du monde, là, juste là.
Tout au fond de ses prunelles je l’aperçois
Je devine les torrents se jetant dans l’océan
Les montagnes immuables depuis la nuit des temps
Le crépitement d’un feu incandescent
La fin du monde et son renouvellement…



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